Aurillac Archives anciennes (antérieures à 1790) Série BB : Administration communale Délibérations des conseils de ville - Elections, nomination des maires, consuls, échevins, officiers de ville 1545. - Délibération au sujet des salins. 1577. - Assemblée générale sous la présidence de Guy de Chaumeil, sr de Vernhols, lieutenant-général. Consuls : Charles Cairols, Guillaume Dupuy, Pierre Vialar, Guillaume Courtès, Jean Cavanac et Jean Delort. Sur le rapport de Pierre Castel, juge et garde des sceaulx au bailliage, Bernard Dumas, Antoine Cambefort, Louis Vernhes et Raimond Mole, examinateurs des comptes de Me Jean Lacarrière, commis à la recette des crues de 80.000 et 22.000 livres, de Bonnet de Vialar, receveur du magasin et de la crue de 10.900 livres, et de Géraud Roques, commis à la recette de la crue de 4.500 livres, il est décidé, conformément à la délibération du 23 avril dernier, que les sommes qui doivent revenir à la ville serviront à l'entretien des cinquante soldats du sr du Cambon, à raison de 14 livres chacun, plus 100 livres pour l'état dudit sr. Celui-ci, supplié de s'en contenter, proteste de sa "bonne intencion de fere service au Roy à ladicte ville et pays", mais que le marquis de Canillac, gouverneur et lieutenant général au présent pays l'avait commis dans cette ville avec 80 soldats et non 50, de quoi il se pourvoierait devant le marquis. Sur le même excédent seront prélevés les frais de voyage de Me Pierre Moynac, enquêteur "pour les affaires de ladicte ville avec Monseigneur de Foix". Le procès du collège contre le sr de Beauclair qui détenait une rente due au collège, et contre les paysans qui doivent la payer, sera poursuivi (1er mai). Assemblée générale. Moyennant l'imposition de la somme de 50.000 livres sur laquelle 37.000 livres doivent être payées comptant à Monsieur, frère du roi, le pays sera exempt de payer la subvention des villes closes et sa portion de la crue de 800.000 livres. Pour parvenir "à la descharge du reste des tailles et crue que ladicte ville peult devoir au Roy, sera faicte vérification au nom du scindic de la ville des contributions que les habitans d'icelle ont esté contrainctz payer aux ennemys". Sont nommés pour examiner les comptes de Me Blaise de Vernyes, receveur des tailIes, les srs de Cairol, premier consul, Bernard Dumas, sr de la Morétie, Pierre Moles, Jean Dupuy et Jean Carrière, "et aussi pour retirer amyablement les parties que ledict Vernyes doibt à ladicte ville afin d'empescher certain don qu'on prétend avoir esté faict à M. le Commandeur de Birague". Sur le rapport des auditeurs des comptes Castel, Textoris, Andrieu et Albaret, sont approuvés les comptes des consuls pendant les mois de septembre 1576 à juin 1577, montant à la somme de 3.391 livres, 13 sols. Les mêmes auditeurs estimeront le travail fait par Antoine Ferranquier pour les réparations des murailles, fontaine et fossés d'Aurenque. A la requête du capitaine Chaumeil, le conseil décide qu'il sera exempt de l'entrée du vin. Une somme de 79 livres, 8 sols tournois est allouée à Me Pierre Moynac pour son voyage auprès de M. de Foix. Le sr Delort reçoit 40 livres pour la peine qu'il a "exposée" à lever l'entrée du vin durant son consulat. On commet divers personnages à "recognoistre les allans et venans" et visiter les corps de garde (12 août). 1579. - Nouveau consulat. Assemblée générale à laquelle assistent les consuls en exercice, Antoine du Fau, Pierre Goudal, Antoine Dulaurens, Pierre Moles, Pierre de Tourdes et Raimond Mole, et les bailes et administrateurs des frairies : Pierre Delolm et Guillaume Maurie, de la frairie Saint-Jacques, Laurent Pélicier et Guillaume Terrisse, de la frairie Saint-Géraud, Jean Dupuy et Guillaume Casses, de la frairie Saint-Marcel, Géraud Picard, de la frairie de la Fête-Dieu, Jean Montamat, de la frairie Notre-Dame, Pierre Daude, de la frairie Saint-Blaise, Géraud Roque, de la frairie Saint-Martin, Mathieu de la Salle, de la frairie Saint-Eloi. Me Jean Mérals, procureur, requiert rassemblée que, vu l'absence du lieutenant général, la présidence sera donnée au sr de Cebié, lieutenant particulier. Le conseil passe outre, se conformant aux anciens usages qui donnent la présidence au premier consul, à défaut du lieutenant général. Sont élus consuls : du pont et quartier d'Aurenque, Jean Dupuy, marchand bourgeois, et Me Jean Contrastin, procureur ; du pont et quartier des Frères, Me Pierre Fraissi ; avocat et juge ordinaire de ladite ville, et Durand Sales, marchand bourgeois ; du pont et quartier des Ponts, Géraud de Crueghe, conseiller au siège présidial, et Bernard Dumas, marchand. Assiette des consuls : Géraud de Crueghe, Pierre Fraissi, Bernard Dumas, Durand Sales, Jean Dupuy, Jean Contrastin (4 septembre). - Prestation de serment, en l'église paroissiale, par devant le premier consul sortant, en l'absence du lieutenant général. Protestation de Pierre Dumoulin, baile, contre la nomination de Fraissi comme consul, comme étant juge de la ville (6 septembre). - Garde de la ville, défense d'ouvrir les portes à cause de la peste, levée de la taille et droits d'entrée du vin (7 décembre). 1580. - Assemblée générale. Consuls : Géraud de Crueghe, Jean Dupuy, Jean Contrastin. Lecture est faite d'une lettre du marquis de Canillac, lieutenant général et gouverneur pour le roi en Haute-Auvergne, exposant que pour réduire à l'obéissance du roi les places et lieux forts détenus par ses adversaires, il a emprunté à la ville de Clermont un canon et une couleuvrine de fonte, qu'il s'est engagé à rendre dans le même état, aux frais du haut pays. L'assemblée déclare donner son consentement, pour la ville et prévôté d'Aurillac audit engagement (24 mai). - Assemblée générale. Les consuls Dumas et Dupuy, Castel, juge, les capitaines Bladanet et Textoris, les caporaux Raimond Laborie et Jean Géranton, assisteront au procès de Mes Jean Chalvet et Pierre Magis, accusés de prodition. On a avertissement que les ennemis tachent de surprendre la présente ville, où ils ont des intelligences. Pour faire la garde, qui s'est "grandement refroydie", on requerra toutes personnes aptes et capables, sous peine de 2 écus d'amende. Les rondes ne pourront se faire sans lanterne. On suppliera M. de Lignerac, bailli et gouverneur du pays, d'écrire au comte de Rastignac, sr de Messilhac, de se rendre en cette ville, avec trente cuirasses de sa compagnie, jusqu'à l'arrivée du camp conduit par M. de Canillac (27 mai). 1581. - Voeu de la ville pour la délivrance des ennemis (copie de 1888) 1584. - Assemblée générale. Consuls : Antoine Tremolet, Antoine de Gaignac, Jean Dupuy, Jean Vernhes et Jean Delort. On réserve jusques après enquête la demande de Guy de Veyre, sr du Claux, tendant à être rayé du rôle de la taille, comme étant ennobli, alors que la dernière commission de la taille royale porte que tous les habitants, même les nobles, doivent être cotisés. Tous les habitants seront contraints de monter la garde. Les archers du vif-bailli seront cotisés au rôle de la taille. Les réparations aux murailles commenceront par un petit gabion qui sera fait à la tour des Cordeliers à l'endroit de la fenêtre, pour servir de meurtrières sur la porte, plus un petit ravelin devant la porte des Fargues pour empêcher l'approche du pont-levis pour poser les pétards. Les consuls et jurés de Laroquebrou seront poursuivis en paiement de leur cotisation pour la réparation de la présente ville (22 février). 1585. - Assemblée générale. Consuls : Jacques Lacarrière, Antoine Dulaurens, Durand Salles, Géraud Vigier, Raimond Mole et Jean Reyt. On reçoit lettres du roi de Navarre, du vicomte de Turenne et du sr de Roquelaure, "leur donnant advis de conserver la ville au service du roy avec offres de leur assister de leurs forces en cas de nécessité". Il est fait réponse que "toujours la présant ville et habitans d'icelle ont demuré et demeurent toujours soubz l'obéyssance de Dieu, du roy et en l'observation de la religion catholique, et l'ont toujours moustré par effect au pris et perte de leur sang, bien et facultés, et ont intention de continuer". Le sr Pibus recevra 150 écus pour avoir prêché l'Avent et le Carême ; on le priera de prêcher les dimanches et jours de fêtes. On ratifie la nomination de Me Jean Labroha comme receveur des impositions à lever pour la translation du siège d'appeaux de Vic et pour la levée, sur l'ordre du comte de Randam, gouverneur d'Auvergne, de 30 soldats pour la garde de la présente ville (5 avril). - Assemblée générale. Les srs Lacarrière, premier consul, Gaignac, avocat du roi, sont députés à l'assemblée qui doit se tenir à Saint-Flour, pour aviser des choses concernant le service du roi, le bien et la conservation de la présente ville (28 avril). Assemblée générale. Nomination des srs de Cebié, lieutenant particulier, Guy de Veyre, sr du Claux et Jean de Cambefort, comme députés à l'assemblée des états convoquée par M. de Randan en la ville de Murat. "Et sur le tout, au cas que mondict seigneur le gouverneur seroit en volonté de s'acheminer en ces cartiers, le supplier de s'en despartir pour ceste foys, attendu la pauvreté et disette des vivres et munitions qui sont en la présente ville et environs d'icelle". 1587. - Assemblée générale. Consuls : Jean de Gros, conseiller, Michel de Cros, Jean Sabatier, Michel Delolm, Jean Textoris et Antoine Fournols. Le premier consul fait un tableau de la misère de la ville, par suite de la guerre, des vols de bestiaux, de la famine et de la peste. Dans l'impossibilité où l'on est de se procurer de l'argent, on priera le receveur des tailles de prêter à la ville la somme de 2.000 écus sur les deniers qu'il a levés. Refus de Louis Vergier, commis de Me Béraud de Laroche, receveur, pour ce que "les deniers n'estoient à luy, ains au Roy". Malgré ses protestations, on fait ouvrir son "comptoir" par un serrurier, et l'on y trouve la somme de 666 écus, qui est remise aux srs Veyre et Laporte, pour être employée suivant les décisions du conseil (1er mai). - Assemblée générale. A la demande de M. de Messilhac, on décide de lui délivrer une somme de 300 écus pour qu'il assure la défense de la ville (11 mai). 1588. - Assemblée générale. Consuls : Géraud d'Estanne, Jean Vernhes, Louis Vernhes, Jean Delaporte et de Cambefort. Ces deux derniers sont députés pour se rendre à l'assemblée des tailles à Saint-Flour, avec charge de remontrer aux élus les misères et afflictions notoires de la présente ville et prévôté où les ennemis du roi occupent les forts de Calvinet et de Saint-Mamet (19 janvier). Assemblée générale. Consuls : Géraud d'Estanne, consul, et Jean Lacarrière, vif-bailli, à l'assemblée des Etats convoquée en la ville de Murat par le comte de Randan. Ils remontreront que les habitants d'Aurillac sont "très humbles et très fidelles subjectz de sadicte majesté, à laquelle de tout leur pouvoir ils veulent obéyr, et aussi à tout ce que par monseigneur leur sera commandé pour le bien de son service, repos et bien du païs". Ils le prieront de remettre son projet de reprendre la place de Calvinet jusqu'à ce que l'on sache à ce sujet l'intention du roi, "attendu mesmement le tumulte et esmotion advenu le XIIe du mois dernier en la ville de Paris, et les particullarités, soubçons et déffiances qui, à cause de ce tumulte, se sont mises entre ceulx mesme qui ne désirent que fere très humble service à S.M. Et rendre toute obéissance à ses lieutenans et gouverneurs". (1er juin). 1592. - Assemblée générale. Consuls : Jean de Cambefort, Jean de Gard de Fortet, François Moles, Jean Vernhes, Pierre de Tourdes, Antoine Fournols. A cause des troubles, les consuls sont autorisés à lever l'entrée du vin à la porte de la ville pour l'employer aux réparations des murailles. Sont nommés auditeurs des comptes : Pierre de Combes, Etienne Dupuy, Jean Casses et Pierre Contrastin. Vu la négligence des commissaires de la police, le conseil leur adjoint les srs de Sarrauste, conseiller, Pierre Moynac, enquêteur, Castel, avocat, et Etienne Dupuy. On décide de poursuivre les procès soutenus par les srs de Fraissi, Géraud Vigier, Raimond Mole, Jean Hérault, Guy Domps, consuls l'année précédente, contre Pierre de Saint-Mamet, conseiller au présidial, Pons de Montal et Catherine de Cabrol, sa femme, et Jean Vigier, au sujet du rôle des tailles (17 janvier). 1594. - Assemblée générale. Consuls : Jacques Lacarrière, conseiller au présidial, Pierre Castel, juge et garde des sceaux au bailliage, Guillaume Daguzon, notaire royal, Charles de Veyre, bourgeois, Jean Casses et Pierre Savy, marchands. "Pour évicter aux grands frais, dépens dommages et intérêts que ladicte ville a soufferts et pourrait souffrir à l'advenir par faulte de payer" la maison de Malras, achetée au sr d'Yolet pour 5.000 écus, on emploiera audit paiement une somme de 2.500 écus qui se trouve entre les mains du receveur Vernhes, et on priera le sr d'Yolet d'attendre quelque temps pour paiement du reste (17 mai). - Assemblée générale présidée par M. de Messilhac, bailli, gouverneur et lieutenant général pour S. M. en le haut pays d'Auvergne. Le sr de Messilhac rapporte qu'un nommé Lou Besson, "homme mal vivant, condamné à mort par justice", qui a épousé la veuve du capitaine du château Saint-Etienne, y ayant introduit de son autorité privée quelque nombre de soldats, et s'étant absenté pour aller en chercher d'autres, le sr de Messilhac lui a interdit l'entrée du château, fait sauter la porte du château et saisi le corps de garde. Le premier consul réclame la présence au conseil du président et des magistrats au bailliage, et supplie M. de Messilhac d'attendre, avant de prendre une détermination, les ordres du roi. Refus des magistrats du bailliage d'assister à la séance. Me Charles Cayrol, procureur du roi, proteste contre leur refus et demande à Messilhac de faire raser et "desmurailler" le château. L'assemblée adopte cette proposition, et les pierres provenant de cette démolition seront employées à la construction de l'église (18 mai). - Assemblée générale. La ville soutiendra devant la Cour des aides de Montferrand le procès intenté par les élus et contrôleurs de St-Flour au sr Lacarrière, élu à Aurillac, pour lui être fait défense de connaître à l'avenir des causes "qu'ils veulent prétendre estre de leur cognoissance", mais tous les frais seront à la charge dudit Lacarrière, Afin de pourvoir à la réparation de l'église, pour laquelle on a fait venir 14 maçons, "on poursuivra tous les legs et biens donnés à ladicte église" ; de plus, une somme de 1.000 livres sera imposée pour le même usage, en augmentation de la taille. Deux médecins, l'un catholique, l'autre protestant, se présentant pour faire le service de la ville, laquelle n'en a point à l'heure actuelle, "les consuls arresteront celuy qui est catholique" (29 mai). 1595. - Assemblée générale. Consuls : Jean de Cebié, lieutenant particulier, Etienne Parizot, Michel Delolm, Raimond Varret, Jean Blanchier. La ville a été dégrevée de 16 écus, 46 sols sur le rôle de la taille. Autorisation est donnée aux consuls de lever l'entrée du vin à la porte de la ville. Les consuls sont chargés de s'entendre avec le père gardien des Cordeliers pour prêcher le Carême et l'Avent. Sont nommés auditeurs des comptes, Jean Gard de Fortet, Géraud Casses, Delzoms et Fornols. "Pour l'honneur, prouffict et santé de la ville, il est nécessaire que les pourceaux et les immondices soient mis hors les murs. De même, il sera choisi un lieu écarté de la ville pour tenir le marché aux pourceaux, autre que la place publique. Sont élus commissaires de la police, les srs de Talon, conseiller, de Cebié, avocat, et Delzom. Le procès entre le sr de Saint-Mamet et la ville a été arrangé moyennant une somme de cent écus à payer par la ville. La somme de 2500 écus reste à payer au sr d'Yolet pour sa maison de Malras. On poursuivra le procès contre Guinot Domps, qui, quoique élu consul, a refusé d'entrer en charge et a assigné ses collègues devant la justice des Aides à Montferrand. Les srs de Tournemire, de Talon et Mole, sont nommés administrateurs du collège, dont tous les biens se perdent ; même une belle" granche du domaine de Besse appartenant audit collège, s'en va par terre, faulte de fere accommoder le couvert. "La réparation de l'église Notre-Dame sera continuée ; à cet effet, il sera imposé sur les habitants de la ville la somme de 1000 livres. La ville ne possédant aucun médecin, on a écrit l'an dernier à Me Annibal Tudesquin, docteur en médecine, habitant en la ville de Clermont, de venir s'établir à Aurillac, où il sera "franc et quitte de toutes charges", et où il lui sera permis de faire entrer le vin nécessaire pour sa consommation sans rien payer. Ledit Tudesquin résidant à Aurillac depuis un an, le conseil décide de tenir ses engagements (27 janvier). Assemblée générale. Les consuls présents et ceux des deux années précédentes liquideront les dépens dus à Nectaire de Rebier, sr de la Peyre, en vertu d'un arrêt du Parlement rendu dans le procès intenté par ledit Rebier à la ville, au sujet des 1580 livres que celle-ci lui doit (16 décembre). 1596. - Assemblée générale. Consuls ! Guy de Tournemire, sr de Vals, Pierre de Combes, Antoine Dulaurens, Jean Delort, Jacques Verdier et Jean Géranton. En souvenance de feu M. de Messilhac, on fera "supplication et requête au roy d'avoir esgard aux services fidelles et signalés que ledict feu sr a faicte à S. M., de recognoitre Mrs ses enfants et leur bien fere, afin qu'ils ayent moyen de subvenir à leurs affaires et continuer la même affection du père au service de sadicte Majesté". On décidé aussi que nul n'entrera dans la ville qu'on ne sache l'intention du roi. Suivent 41 signatures (13 février). 1598. - Assemblée générale. Consuls : Jean Gard de Fortet, Jean Chanut, Jean Brolhat, Jean Verdier, Pierre Manhe. Pour payer ce que la ville doit au sr de Rebier, une somme de 833 écus 20 sols a été levée l'année précédente, et sera levée l'année présente. Le syndic des Carmes poursuit les consuls en justice pour leur faire rendre "certaine cloche qu'ils disent leur avoir esté prise pour l'employer à faire quelque canon". Sont nommés auditeurs des comptes : Etienne Parisot, Pierre Vigier, Louis Vernhes et Jean Casses (13 juillet). Cote E DEP 1500/33 Date(s) 1545-1598 Description physique Liasse. - 1 pièce parchemin et 22 pièces, papier Commentaire Ancienne cote : BB 12 Mots-clés lieu Aurillac (Cantal, France)